La France souffre d’un nombre trop faible d’ETI comparé à ses voisins allemand ou britannique. S’il existe des raisons structurelles et culturelles à une telle situation, il convient d’identifier et de ne pas oublier les raisons d’un passage réussi de PME à ETI, relevant à proprement parlé du management de l’entreprise. Nous vous invitons ainsi à lire la tribune récemment publié sur le site des Echos par M. Patrice Bertrand , président du Conseil National du Logiciel Libre et Directeur Général de Smile, le 31 mars 2013.

La France a peu d’ETI, le constat est connu. Au-delà des arguments structurels et usuels tels que les effets de seuil fiscaux et réglementaires, M. Bertrand insiste sur le rôle important du management dans les différentes phases de croissance de la PME. En effet, sans omettre le temps nécessaire et les lenteurs inhérentes à toute structure en croissance, M. Bertrand insiste sur la mue que les dirigeants doivent opérer afin de conserver les fondamentaux du succès initial (la prise de risque, l’innovation, le dynamisme …), et d’accompagner les changements nécessaires en matière de renouvellement de l’offre et de diversification. Il convient d’accompagner au mieux les changements, tout en conservant l’âme de l’entreprise et le goût d’un certain risque.

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